Archives Auteur

Stumble Upon est une communauté d’utilisateurs qui suggèrent des contenus web aux autres, ceux ci étant chargés de se prononcer simplement: « j’aime »-« j’aime pas ».
Si le contenu suggéré est perçu favorablement, Stumble Upon va le proposer à d’autres d’utilisateurs et ainsi de suite.
Stumble Upon est donc un outil de marketing viral : les bons contenus sont proposés aux membres de la communauté très rapidement et cela peut amener un nombre conséquent de visiteurs (même s’ils repartent aussi vite qu’ils sont venus…).

Voir le bouton “I like” dans la barre d’outils

Tim de Venture Skills Blog a tenté de percer les secrets du fonctionnement de Stumble Upon en menant des tests pendant 1 mois. A la manière d’un référenceur qui veut être en première position dans les pages de Google, Tim a essayé de comprendre à quoi pouvait ressembler l’algorithme de pertinence de ‘SU’ (pour les intimes). Son but? Identifier les facteurs qui influencent le nombre de visites générées.

Je vous invite à consulter son post si vous avez un peu de temps; c’est du travail soigné!

Ce qu’on peut en conclure:
– Il faut passer du temps sur Stumble upon à juger les contenus
– Il faut suggérer de nouveaux contenus et il faut qu’ils plaisent
– Il faut avoir des amis et des fans qui eux aussi ont un bon scoring à force de juger et suggérer des contenus
– Pour suggérer un contenu si vous n’êtes pas un habitué de SU, mieux vaut contacter un membre hyper actif pour lui demander de proposer ce contenu à la communauté.

A l’inverse, il faut éviter :
– de suggérer des contenus qui viennent toujours du même nom de domaine
– de noter positivement des contenus dont le lien vous a été envoyé par un ami (Si vous arrivez directement sur la page, SU comprend que vous avez été influencé
– SU peut aussi repérer que c’est toujours le même groupe de personnes qui votent…dans ce dernier cas mieux vaut clairement signaler à SU que vous êtes amis).

Je rajouterais 1 élément clé qu’ on ne peut oublier : Le contenu !
C’est lui qui fait que vous aurez 50, 300, 1000 ou 10000 visiteurs d’un coup. Il doit plaire tout simplement.
Les critères cités ci-dessus sont seulement des élements qui augmentent les chances de succès.
Comme le ferait un bon référenceur, gardons quand même en tête que le plus important pour SU et ses membres; c’est le contenu que vous proposez !

Si Digg rassemble plutôt du contenu rédactionnel et des news fraîches, vous trouverez plus souvent sur SU des contenus multimédia: photos, images, jeux. Mais le mieux c’est encore de s’inscrire sur SU pour voir comment cela fonctionne!

Stumble upon buzz et viralité

Les petits liens bonus pour aller plus loin :
Blogasty, Fuzz et Scoopeo…les Digg like Francophones (d’ailleurs le fonctionnement de Blogasty [avec ses points appelés Karma] est assez « ouvert » et plus compréhensible)
– Voir aussi la critique intelligente et constructive de Numabilis.com concernant Blogasty ( les commentaires sont eux aussi pertinents).

Voici le niveau des indicateurs clés par secteur pour l’envoi d’email selon Emailing Solutions qui édite ce baromètre du 2e trimestre 2007 (basé sur les 1200 campagnes réalisées par leurs clients) :

Le taux d’ouverture se stabilise tant bien que mal à 27% (ce qui veut dire que 3/4 des emails envoyés le sont en pure perte) et le taux de click descend à 6.3% (1/4 des « ouvreurs » cliquent…ce qui rassure un peu):

Le Barometre de l’emailing 2007

Voici quelques articles et sites intéressants:

– Comment collecter des adresses emails:
http://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing
– Comment suivre la « délivrabilité » de vos envois versus les filtres anti spam (en pdf):
http://www.iab.net/resources/
– Des sites que je recommande:
Pignonsurmail.com est édité par un spécialiste Français du secteur
Email-marketing-reports.com partage de bonnes infos en Anglais/
Voir aussi ClickZ, Ezine Tips, Marketing Sherpa et Emaillabs pour les plus courageux (et anglophones).

Nait-on ou devient-on viral ? C’est la question que se pose Andrew Chen dans ce post. Et sa réponse est assez catégorique:
On nait viral et ensuite on travaille sa viralité. Dis autrement, le concept de viralité doit être inhérent au produit et pensé dès sa conception.
C’est en somme ce que dit le fondateur de RockYou dans son interview à Facereviews. Sur Facebook, Rockyou n’a pas cherché à refaire ce qu’ils savaient faire sur le web. Ils se sont simplement demandés quelles applications pourraient être virales et ils les ont développées (au bon moment semble t’il puisqu’ils comptent des millions d’utilisateurs…)!

Video, cadeaux, send to a friends.. ne sont que des artifices de la viralité: Ils l’a stimulent plus qu’ils ne la créent.

Et qu’est ce qui est viral:
1- l’humour
2- et l’utile…mais dans une moindre mesure.

marketing viral

Si vous pensez que la réalisation de l’idée est plus importante que l’idée elle même, découvrez 365idées.com

Belle initiative de Silicon Sentier et Fabernovel d’avoir lancé le site Bureaux à partager pour aider les entreprises à s’installer mais aussi à se connecter les unes aux autres!
http://www.bureauxapartager.com

[dailymotion id=7JCzqVAhhnDtvkJ9D]

Conférente intéressante organisée par l’IE Club, Club des acteurs de l’ économie High Tech, jeudi prochain sur la révolution de l’internet software à Paris à 18h30.

Laissez votre adresse email en commentaire ou envoyez moi un mail. Je vous contacterai.
http://www.ie-club.com/accueil.php?menu=mevenements&main=eve-prochain

– La musique tout d’abord:
Gerd Leonhard, specialiste de la musique numérique, partage ses slides favoris pour expliquer en quelques images, le nouveau paradigme de la musique. A voir sur son blog
La musique  a l'heure internet
– Les blogs :
Une tribune intéressante de Cedric Motte dans le Journal du Net sur la monétisation. Peu enclin à promouvoir la recherche de budgets publicitaires propres au média traditionnels, il milite plutot pour le sponsoring des blogs et des blogueurs.
– Les applications Facebook:
Elles cherchent encore leur modèle même si les revenus publicitaires semblent le plus évident. Inside Facebooks fait un point sur les différents réseaux publicitaires sur Facebook (article qui intéressera autant les éditeurs d’applications que les annonceurs).

Webanalytics, c’est le nom donné à l’étude des comportements des visiteurs d’un site web: Combien de visiteurs, combien de pages vues, quelles pages vues, quels parcours…voila le type d’info que ces outils mettent à disposition.
Les outils de webanalytics permettent donc d’améliorer l’expérience de l’utilisateur et d’augmenter les transformations (ventes, contact..) du site web. Mesurer pour mieux optimisr, tel est l’objectif.
En 2005, le secteur commencait à gouter les joies d’un marché florissant lorsque Google a lancé son service gratuit « Google Analytics« .

Tout bon « e-marketeur » se doit d’ailleurs d’avoir testé cet outil.
(Voici un trés bon tutoriel pour vous familiariser).

Maintenant la question qui se pose, c’est de savoir quels intérêts les sociétés ont à opter pour une solution payante quand Google propose une solution performante gratuitement.
Pas facile d’y répondre…

Pourquoi travailler avec les solutions de Weborama, Xiti, Nedstat ..vs Google:
– si vous avez de nombreuses pages/produits, ces sociétés vous feront ressortir plus aisément les infos clés (par categorie, sous rubrique etc…)
– si vous avez des problématique spécifiques, il y aura des gens pour vous servir et adapter leur offre. Idem si le service tombe en panne, il y aura des gens au bout du téléphone pour vous répondre. Pas chez Google. Le service, la formation, l’accompagnement pour la taggage du site…ca compte aussi.
– enfin si les notions de sécurité et de confidentialité vous sont chères, la mainmise de Google peut en inquiéter plus d’un.

Pourquoi travailler avec les solutions d’Omniture, Webtrends ML2, etc ?
Là, on passe au niveau au dessus. Les statistiques ne sont plus accessoires, elles sont au centre de votre site web et elles pilotent par exemple votre CRM, vos achats de mots clés, votre serveur de publicité, votre newsletter etc… Bref vos outils marketing sont directement « pluggés » à votre outil de webanalytics et vos actions marketing dépendent de l’efficacité que l’outil de webanalytics mesure quasi en temps réel. L’offre Genesis d’Omniture est à cet égard exemplaire! Mais évidemment on ne parle plus des mêmes budgets.

omniture genesis

L’offre tant gratuite que performante de Google Analytics ne vient donc pas détruire le marché des offres payantes.
Elle vient leur mettre la pression et cela a des effets bénéfiques pour tous:
1- cela démocratise les webanalytics auprès de tous les webmasters : c’est un acquis, la mesure de l’efficacité est à la portée de tous
2- cela booste certains acteurs du secteur pour offrir plus de services ou de fonctionnalités comme par exemple plugger l’outil d’analyse aux outils d’action.
D’ailleurs les rapprochements de SalesForce vers Google Analytics indiquent que Google s’y met aussi. A suivre…

Voici 4 règles que je m’efforce de respecter quand je regarde ou conçois une page web afin d’assurer un minimum syndical en matière d’ergonomie.

1- Quand j’arrive sur cette page, je comprends de suite sur quel site je suis : Ex. Amazon

2- Je sais immediatement ce que le site fait : Ex. Il vend des produits culturels

3- Je sais immédiatement ce que me propose cette page : Ex. Elle me donne des infos sur le CD d’Annie Cordie (c’est un exemple)

4- La page m’emmène naturellement vers l’étape suivante car elle est explicitée et mise en valeur : Ex. Je dois cliquer sur le bouton commander.

Ces règles sont très basiques. Cela permet de les mémoriser facilement.
Elles sont tirées de la lecture du livre remarquable de Steve Krug « Don’t make me think » qui donne aussi ces quelques conseils:
– « don’t make me think » – le visiteur scanne, c’est le postulat de base
– « reduce word by half » – moins de mots
– « use conventions » – respecter les usages
– clarifier la hiérarchisation des pages
ergonomie web, le livre

Petits bonus:
5 conseils trés bien vus de Ion Interactive. A LIRE
– Voici un exemple d’optimisation d’une page web trouvé sur le site de Fred Cavazza:
web desigh efficace

Pour plus d’infos sur cet exemple,voyez Marketing Experiments.

Le jeu n’est pas qu’une affaire de « gamers ».
Selon une étude de Comscore, 217 millions d’internautes jouent chaque mois sur Internet et ils ne jouent pas à Second Life ou Word of Warcraft mais à des jeux flash. Et devinez quoi, ce sont majoritairement des femmes ! On appelle cela du « casual gaming ».

Alors les marques s’y intéressent:
– soit en affichant de la publicité dans les jeux (voir les services de Massive)
– soit en créant des jeux qui mettent en valeur leur marque ou leur produit.

Et le jeu a la réputation d’être un outil particulièrement efficace comme le montre cette étude de l’AAF/Emarketer:
Advergaming le jeu comme outil marketing

Mais cet intérêt semble encore limité au regard des budgets consacrés : 3.6% des budgets online selon AAF (Nov 06).
Il y a donc un beau potentiel de croissance!

A lire :
l’article de Ian, expert de l’advergaming *
Advergame.fr, qui annonce et critique les advergames
Adverblog, qui annonce les sorties de jeux publicitaires US
– Voir aussi le blog de buzz Français « Send to Friends »